Informations Age : 33 Messages : 35 Messages RP : 17 Localisation : Quelque part
Feuille de personnage Race: Humaine Métier: Ainé de la garde céleste Guilde: Aucune
Profil | Sujet: Metheniël Feanör {terminée} Mar 29 Avr - 22:07 | |
| Feanör Metheriël | Personnage Nom : Feanör Prenom: Metheriël Surnom: Meth. Ou bien la Femme d'Acier. Sexe: C'est une femme. Age : 27 ans Ville de naissance: Falcon | | Capacités Sort: Détecteur. Ce sort permet à la jeune femme de repérer les objets d'une grande importance, les pièges posés par les ennemis et la magie. Chaque catégorie possède une particularité, une saveur qui lui est propre. Ainsi, Metheriël peut reconnaître chaque chose grâce au goût que ça a. La magie a un petit goût de menthe bien fraîche et pétillante. Les pièges ont un goût de fer assez désagréable. Et les objets importants ont un petit côté épicé qui lui brûle la langue. L’inconvénient est assez important car Metheriël ne peut empêcher la détection. Elle se fatigue beaucoup à chaque fois que c’est utilisé et en plus, elle perd pendant plusieurs heures le sens du goût et de l’odorat. Ce qui donne un résultat fort désagréable.
Arme(s): La Claymore qui appartenait à son grand-père adoptif, elle a une grande valeur sentimentale. Et un petit Stylet lorsqu'il faut attaquer en traître. Mais elle ne l'utilise que très rarement. | Informations Race : Humain Peuple : Ciend Métier : L'ainé à la Garde Céleste Alignement : Neutre Loyal Sage Pure Classe sociale : Bourgeois. | Animal de compagnie Race: Aucun Description: Aucun | Description physique Metheriël est une jeune femme de 27 ans, une humaine au cœur de la Garde Céleste. Beaucoup en la voyant la soupçonne d’être un ange tant elle est belle. Une peau blanche délicate et douce au toucher, un visage fin et gracieux. Ses lèvres fines sont brillantes, d’une teinte de pêche. Son petit nez à un léger défaut mais on n’y prête guère attention. Ce qui surprend le plus, ce sont ses yeux. Pour une humaine, avoir des yeux rouge ne serait pas normal et pourtant, c’est bel et bien le cas. D’un rouge cependant assez envoûtant pour que personne ne soit effrayé, à moins de la mettre en colère. Autour de ce beau visage, une chevelure qui descend en une gracieuse cascade jusqu’au-dessus de ses fesses. D’une teinte assez étrange là aussi. On a l’impression que selon la lumière qui se projette sur ses cheveux, ils prennent une couleur différente. C’est parce que la teinte un blond très clair, presque translucide et que c’est grâce à un produit spécial que ses cheveux peuvent refléter plusieurs couleurs.
Outre son visage, il y a aussi son corps. Assez gracieux certes, mais lorsqu’on la regarde on peut voir ses courbes généreuses et cela donne certaines envies qu’elle peut taire immédiatement d’un regard. Il faut aussi savoir que Metheriël n’est pas très grande. Et elle a horreur qu’on le lui rappelle. Ses bras et ses jambes sont musclés sans versés dans l’excès, car tout cela reste beau à regarder. Sa poitrine est ronde, généreuse et aussi jolie à regarder que le reste. Même en armure cette femme est sublime. Pourtant, plusieurs cicatrices sont éparpillées sur son corps, mais personne ne peut les voir à moins de la voir s’entraîner en tenue légère. Il y en a une en travers de son dos. Puis une autre sur son ventre, fine mais visible sous la lumière.
Son style vestimentaire va bien avec son caractère. En armure quand il le faut, où en chemise légère et pantalon lorsqu’elle peut se reposer.
| Description mentale Tout d'abord, vous devez savoir que Metheriël est une femme très rancunière. Elle en a toujours voulu à son grand-frère de l’avoir abandonné et à ses amis de ne pas l’avoir aidé quand elle en a eu le plus besoin. Si jamais elle venait à les revoir, il n’y a aucune garantie que tout se passe bien, au contraire. C’est aussi une femme qui prend ses distances, elle n’est pas du genre à accorder sa confiance à n’importe qui et ça, elle en a bien retenu la leçon. Cependant, faites vos preuves, prouvez-lui que vous êtes digne d’avoir sa pleine confiance et vous ne le regrettez pas. Mais attention, vous n’aurez jamais de deuxième chance alors soyez prudent, d’accord ? Metheriël est aussi connu pour être une véritable pourriture lorsque cela concerne des gens qu’elle déteste au plus haut point. Oui, en plus d’être rancunière elle maîtrise le sarcasme à la perfection. Beaucoup seront surpris de la voir ainsi mais lorsqu’une personne que l’on déteste se tient face à vous, vous n’allez pas lui lancer votre plus beau sourire, non, pas Metheriël en tout cas. On ne peut pas non plus dire que c’est une femme confiante qui n’hésiterait pas à se jeter dans la gueule du loup, elle n’est pas aussi imbu de sa personne, croyez-le. Metheriël est bien plus maligne et plus stratégique que l’on ne pourrait le croire, et c’est assez impressionnant à regarder quand ça se produit. Ensuite, sachez que la jeune femme est quelqu’un de très attentionnée lorsqu’il s’agit des personnes qu’elle apprécie. Bien sûr, peu de personnes entrent dans ces critères mais pour ceux dont c’est le cas, c’est une femme vraiment adorable qui donne son amitié et son amour sans compter. C’est aussi quelqu’un qui aime se rendre utile et qui apprécient lorsqu’on lui demande un coup de main. Metheriël possède un vrai cœur en or, seulement pour pouvoir l’apprécier il faut être proche d’elle. Bien sûr, elle n’a rien contre un peu de solitude car dans ce moment-là, elle peut se ressourcer et analyser chaque chose qu’elle a vue. Oui, elle a toujours été ainsi et cela ne changera jamais. Pour terminer, il y a quelque chose d’important que vous devez savoir. Comme vous l’aurez remarqué, Metheriël est une femme sérieuse quand il le faut et joyeuse quand elle est avec ceux qu’elle aime. Mais pour se faire une place dans ce monde où les hommes sont durs, elle a dut sacrifier quelques sentiments pour être digne et fière de se montrer auprès deux sans jamais ciller aux insultes et aux moqueries. Un beau petit bout de femme que je vous laisse découvrir en RP | Histoire Tu te souviens parfaitement de ton passé, chaque jour qui passe n’est qu’une spirale de souvenirs que tu aimerais oublier. Mais ce passé que tu détestes tant fait partie de ton histoire Metheriël. Et je vais la raconter pour toi. Ce sera rapide, promis.
Tu es née à Falcon, au sein d’une famille de bardes qui ne cessaient jamais les voyages pour raconter des histoires et chanter des louanges. Ainsi, tu vas grandir dans l’ambiance fraîche et joyeuse de la musique, de la danse et du chant. Toute petite, tu impressionnais tes proches avec ta petite voix cristalline. Une enfant douée et appréciée des petits gens qui venaient vous voir chaque jour. Mais tu ne faisais pas que ça Metheriël. Tes parents t’apprenaient aussi à écrire, à lire et à faire la cuisine. Tu reçues donc une éducation simple malgré votre statut de bourgeois voyageur. Pourtant, lors de vos nombreux voyages, quelques nobles s’intéressaient à toi. Alors on accentua ton éducation. On t’inculqua tout ce qui pourrait faire de toi une fille noble. Le problème, c’est que très vite cela t’a beaucoup ennuyée.
Tu préférais largement ce que faisait ton grand-frère. Il s’entrainait sans relâche, avec quelques amis qui s’amusaient beaucoup à le tester. Tu aurais aimé pouvoir faire de même, mais tes parents refusèrent catégoriquement et t’obligèrent à continuer ton éducation. Lire, écrire, la révérence, toutes les politesses de bases, etc. cela t’ennuyait vraiment mais tu voulais leur faire plaisir. A 12 ans, tu étais parfaitement capable de faire partie de la noblesse. Car en plus d’être douée, tu étais tellement jolie… Mais toi, tu rêvais d’autres choses que de passer ton temps loin de ta famille avec des gens que tu n’appréciais pas vraiment. Secrètement, tu rêvais d’épées, de combats et d’honneur. Cette envie ne t’avait jamais quitté. Alors le soir, quand tes parents dormaient, tu allais t’entraîner avec ton frère. A force, tu as acquis de la force, une grande agilité et tu t’es révélée une grande combattante. Mais quelque chose bouleversa ta vie. A jamais.
Tu avais 14 ans. Depuis quelques mois, vous étiez de retour à Falcon. Ta famille en avait assez de voyager. Tu étais dans ton lit, les pensées pleines de combats héroïques et d’honneurs mérités quand un étrange bruit s’éleva doucement dans ta chambre pourtant bien silencieuse. Agile et rapide, tu te levas, attrapant l’épée cachée sous ton matelas et tu te dirigeas discrètement vers la porte de ta chambre. Tu l’entrouvris, aucun bruit ne semblait perturber la quiétude de la maison. Mais, il y avait quelque chose. Tu sentais une présence, rien de vivant mais tu la sentais toute proche. Le sol semblait bizarre, il y a avait quelque chose d’étrange. Tu compris lorsque le piège faillit se refermer sur toi. De la magie ! Pendant quelques instants, tu te demandas comment tu avais fait pour savoir qu’il y avait un piège ici. C’est une petite voix dans ta tête qui te souffla quelques drôles de saveurs dans la bouche. Soudainement, un goût de fer s’empara de ta gorge et se faufila sur ta langue. Comme avec le piège. Sans vraiment comprendre pourquoi, tu te dirigeas dans la chambre de tes parents. Il n’y avait personne. Jurant à voix haute, tu te précipitas dans celle de ton frère. Personne non plus. Alors tu te décidas à sortir de la maison. Et ce que tu vis Metheriël, te changea complètement. Tes parents gisaient là, aux pieds de ton frère qui tenait une claymore. Recouverte du sang de tes parents.
« Ah, Metheriël… j’aurais aimé que tu n’existes pas. Tu n’as été qu’un pion de plus dans mon petit plan et maintenant, tu sais ce que je vais faire n’est-ce pas ? »
Choquée, tu n’as bougé qu’au dernier moment, alors que la lame allait trancher ta petite tête. Roulant sur le sol, tu attrapas ton épée et tu te mis en garde. Tu n’avais aucune chance contre ton frère, mais quelque chose – ton intuition – te soufflait que la victoire serait tienne. Mais dans ta tête, tout était flou, sous le coup d’une colère immense et puissante. Le combat dura dix minutes. Tu perdais, ton frère était bien plus habile que toi. Blessée au dos, à la cuisse et au ventre, tu as finis par d’effondrer sur le sol, le sang coulait des diverses blessures que l’on t’avait infligé. Ton frère te retourna du pied et s’apprêtait à en finir quand soudainement tu l’as vis. Sa faiblesse. Utilisant les dernières forces qui te restaient, tu serras ton épée et tu la plantas juste là, en plein cœur. Un coup fatal. Ton frère s’effondra sur toi tandis que tu plongeais dans les ténèbres.
Quatre années ont passés depuis cet affreux incident. Tu as eu du mal à t’en remettre, mentalement et physiquement. Les personnes qui t’ont gentiment accueilli étaient de vieux nobles. Au début, ce fut assez compliqué de discuter avec eux. Tu n’avais plus confiance, chaque jour était comme un calvaire et la nuit était un cauchemar perpétuel. Tes amis ne venaient pas te voir, pour une raison que tu ne connaitras que plus tard. Tu t’es donc retrouvée seule avec ces deux personnes âgées qui en plus d’être généreux t’ont appris beaucoup de choses. Notamment à maîtriser la magie qui t’habitait. Tu pouvais effectivement sentir la magie des autres gens, la présence de pièges en tout genre et tu pouvais indiquer les emplacements d’objets assez importants. Tu appris alors que la magie en toi s’appelait « le sort de Détection ». Un pouvoir pratique dans la mesure où chaque catégorie avait une saveur particulière. L’inconvénient majeur était cependant trop important pour que tu considères ton pouvoir comme super pratique : en effet, l’utilisation était spontanée, impossible à maîtriser. Chaque fois que tu sens la magie ou un piège, tout se déclenche. Et une fois que c’est terminé, la fatigue s’empare de toi et te soutire deux de tes sens : le goût et l’odorat. En le découvrant vraiment, quelque chose a de nouveau brillé en toi malgré les petits défauts notoires. Un espoir inconnu qui te murmurait de doux mots à l’oreille. Puis le vieil homme reprit ton apprentissage du combat et du maniement de l’épée et des autres armes pouvant t’être utile. Et tu étais une élève douée, accomplie et hyper motivée. A 18 ans, savoir lire, écrire, manier l’épée et la hache avec aisance… ton professeur avait de quoi être fier de toi. Puis il t’avoua un secret : il espérait que tu entres à la Garde Céleste.
« Metheriël, écoutes-moi. Ma femme et moi avions trois enfants. Deux fils et une fille. L’ainé rêvait d’être un barde et il le fit. Le deuxième voulait être un grand avocat et il le fut. Ma petite dernière rêvait d’être chevalier à la Garde Céleste. Elle n’a pas pu réaliser son rêve. Trop fragile, elle décéda en passant les tests pour devenir écuyer. Ce fut un véritable drame, mais on ne pouvait que prier pour que nos deux garçons survivent dans ce monde cruel. Tu sais, même si nous étions riches à souhait, rien ne pouvait nous ramener notre fille. Alors nous avons prié pour nos deux fils mais eux aussi ont été emportés par la mort. Qu’avions fait pour que les dieux nous prennent nos trois enfants ? Puis tu es apparue. Blessée, devant notre porte. Je ne sais pas si c’était un signe des dieux, mais on s’est occupé de toi comme si tu étais des nôtres. Metheriël, tu es la petite fille que nous n’avons jamais eue, comprends-tu ce que cela veut dire ? »
Tu étais silencieuse, émue par cette déclaration. Des larmes ont coulées sur tes joues alors que tu te levais pour prendre le vieil homme dans tes bras, lui promettant d’être un super chevalier pour lui rendre honneur.
Quelques mois plus tard, tu passas les tests pour devenir écuyer. Beaucoup ont été surpris de te voir. Une belle jeune fille, au corps musclé mais gracile. On te demanda si tu étais sérieuse, si tu désirais vraiment cela. En te testant au combat, les juges furent grandement surpris. Tu combattais avec une rage et une volonté hors du commun. On te blessait ? Pas grave. Tu devais gagner. Pour le vieil homme. Tu brandissais la claymore qu’il t’avait offerte avec fierté. Chaque épreuve, tu les a réussi. Il n’y avait qu’une seule chose qu’on te reprochait : être une femme. Mais finalement, après un long moment d’attente, on t’accepta en tant qu’écuyer à la Garde Céleste. Tu étais heureuse, fière et hyper excitée de l’apprendre à ta famille adoptive. Mais la nouvelle avait un goût amer. Le vieil homme mourra ce jour-là, le sourire aux lèvres. Sa femme mourut deux jours plus tard, de chagrin. Toi tu te retrouvais de nouveau toute seule. Bien sûr, maintenant tu étais écuyer et on t’avait désigné un chevalier au caractère assez fort. Tu ne pouvais plus rester seule. Mais dans ton cœur, c’était le vide.
Avec le temps, ce vide commença à être combler. En voyageant avec Fanaël, le chevalier auquel on t’avait assigné, tu te sentais un peu moins seule. Tu appris un tas de choses que tu notais dans un journal intime. Chaque détail que tu avais remarqué, tu le posais sur les pages qui petit à petit se remplissaient d’encre noire. La vie d’écuyer n’était pas facile, mais parce que tu étais une femme, on devint plus cruel avec toi. Aucun traitement de faveur, rien. Cela t’arrangeait, tu ne voulais pas que ta condition de femme t’empêche de devenir chevalier. Fanaël admirait ta ténacité mais refusait de voir en toi un grand guerrier. Il te sous-estimait tous le temps. Pendant trois ans, tu l’accompagnas, tu te battis même avec ses côtés mais ça n’empêchait rien, il ne te voyait que comme une femme fragile. On se moquait toujours de toi. Parfois, on te faisait quelques petites blagues. La toute dernière te mit dans une colère noire. Quelqu’un était venu dans ta chambre, l’avait retourné et avait piqué ton journal intime. Furieuse, tu fonces dans la salle de repos des écuyers. Et tu les vois tous rire. Tu étais en serviette ! Mais ça n’avait aucune importance. Tu voulais qu’on te rende ton bien. Tu le sentais, il était ici. Oui, c’est un objet très important. A quelques mètres se tenaient trois chevaliers qui se tenaient à l’écart, prêt à intervenir en cas de pépin. Puis ils entendirent tous ta voix s’élever, impitoyable.
« Vous me rendez le journal, où vous vous retrouvez tous à l’infirmerie dans un état proche de la mort ! »
La menace était réelle et sans appel. Personne ne bougea ni ne broncha. Celui qui détenait le journal te fit face en te riant au nez, se moquant de nouveau de toi. Les chevaliers ont retenu leur souffle. Le rire n’a duré que quelques secondes avant que ça ne se transforme en un gargouillis affreux. Ton adversaire venait de se prendre un coup de poing dans la poitrine accompagné d’un genou bien placé dans les parties intimes. Le garçon s’écroula sur le sol et le silence se fit soudainement. Tu te penchas sur le corps vivant mais inerte pour récupérer le journal puis, avec un calme monstrueux tu déclaras :
« Le prochain qui ose me mettre dans l’embarras ou en colère se retrouva comme ce pauvre gars par terre. Vous êtes prévenus. »
Et tu sortis de la pièce sans un regard aux chevaliers qui après quelques secondes d’hésitation se précipitèrent sur le pauvre garçon allongé et inconscient. Tu fus punies, évidemment. Mais plus personne ne t’embêta suite à cette violente confrontation.
Tu devins chevalier à l’âge de 23 ans. Ton courage, ta force et ton côté stratège avait apporté ses fruits, rendant fier ton ancien maître qui te félicita chaudement pour ta promotion. Mais ta vie ne fut pas aussi aisée que ça. Tu devais continuer à être sévère avec les gens, à être crainte. Tu ne montrais aucun sentiment, ce qui surprenait toujours pas mal de monde.
Metheriël, ton parcours est presque aussi beau que n’importe quel autre chevalier. Chaque mission était accomplie avec brio. On t’admirais de plus en plus et ton talent à détecter les pièges et la magie te conféraient quelques avantages non négligeable : tu étais incluse dans les projets d’envergure pour donner ton avis et la stratégie à adopter pour gagner les batailles et les quêtes compliquées.
Tu avais même réussie à te lier d’amitié avec Maloreï, l’ange Ainé de la Garde Céleste. Vous discutiez souvent de combats et de quelques missions mais la plupart du temps, l’ange parlait de la reine. Il en était proche, il la protégeait. Tu pouvais le voir par toi-même et certaines choses te tracassaient un peu au sujet de la reine. Elle était proche de la reine oshurienne. Même si pour toi entretenir de bonnes relations avec les autres monarques était important, il ne fallait jamais baisser sa garder et toujours se méfier. Tu voyais donc cette espèce d’amitié comme quelque chose d’assez fou et dangereux. Mais tu n’étais qu’un chevalier Metheriël, tu n’avais pas à t’opposer à quoi que ce soit. Et même si tu donnas ton avis à Maloreï, celui-ci se répliquait que l’amitié était importante et incassable. Tu ne te fis pas prier pour cesser d’être inquiète à ce sujet.
Alors quand elle fut assassinée, ce fut terrible. Maloreï était perdu, détruit, anéanti. Il ne supportait plus son rôle, ni le roi. Alors il demanda à ce qu’on le remplace. Surprise générale à la Garde Céleste qui ne voyait pas qui pourrait remplacer un Ange tel que lui. Pendant des jours, on tergiversa. Qui pourrait lui succéder. C’est Maloreï lui-même qui te recommanda.
« Ecoutez-moi ! Metheriël est une femme forte, qui a du caractère et qui serait capable de faire flancher le roi lui-même. Laissez-la succéder à Maloreï, vous ne serez pas déçu. Et si vous ne me croyez pas, demandez à chacun d’entre nous ce qu’il en pense et vous serez surpris ! »
Si tu t’opposas à cette proposition par pur embarras – car au fond tu étais fière – les témoignages de tes camarades furent décisifs. Tu devins Ainé à la Garde Céleste en Chaü an 6 à la 1ère Décade, 3ème lune. Un honneur, une fierté que tu dédiais à ton vieil homme qui continuait de vivre à travers tes rêves. Il serait fier de toi, Metheriël. Ta famille aussi.
Malgré tout, ton intuition ne te trompais : il y avait quelque chose de louche qui se tramait, et sans savoir pourquoi tu jetas tout ton dévolu sur le roi Drew. Cet homme avait un petit quelque chose qui t’énervait au plus haut point, mais entendre les rumeurs sur lui comme quoi ce serait un homme à femmes n’a fait qu’attiser encore plus ce sentiment étrange qui t’étreignait tous le temps : cet homme n’avait rien d’innocent. Mais tu gardas tes pensées pour toi. Pas la peine d’alarmer qui que ce soit pour une intuition peut-être fausse. Comme d’habitude tu notas tout dans ton journal déjà bien rempli, réfléchissant à un moyen de découvrir ce qui n’allait pas chez ce roi fou. Et même si tu te devais de le protéger, ton instinct te souffla de te méfier de lui.
Ton rôle en tant qu’Ainé te prenait pas mal de ton temps, mais tu pouvais réfléchir seule quand cela devenait trop compliqué. Et tu te mis à penser à ce qu’il s’était passé ces dernières années. Adrietha disparait, la reine de Ciend est assassinée et le roi de Seda meurt de maladie. Pour toi, ces évènements avaient quelque chose de bizarre. L’impression que tout était lié se faisait une raison dans ton esprit, emportant avec lui des doutes quant à une imminente guerre. Malgré le nouveau roi de Seda, Godwin De Greyshade, tu pressentais que quelque chose allait bientôt se produire à Seda. Bien sûr, tu ne jugeais pas les gens sur ce que tu entendais mais… il te faudra faire attention à tout désormais. Délicatement, tu notas une dernière phrase dans ton journal avant de le laisser sur ton bureau :
« Si mon intuition ne me trompe pas, je n’aurais peut-être plus jamais l’occasion d’écrire sur ces quelques pages qui te restent mon ami. J’espère vraiment me tromper… »
| Votre personnage dans le monde Que pense-t-il de l’œuvre de la reine Adrietha ? Très satisfaisante - Metheriël considère la reine comme étant la meilleure et l'admire comme jamais. Son projet avait beau être utopique, elle a gagné les cœurs.
Que pense-t-il de la politique de votre nation ? Moyenne - Elle voit d'un mauvais oeil ce monarque, et si elle ne le craint pas, Metheriël s'en méfie largement. Cependant, elle doit bien avouer que la situation de Ciend est bien gérée. C'est donc un avis partagé.
Quelles sont les races ou les peuples que votre personnage aime particulièrement ? Metheriël n'est pas du genre - en apparence - à aimer beaucoup de monde. Pourtant son coeur est bon et la jeune femme apprécie chaque personne non pas pour sa race ou son peuple, mais pour la bonté de l'âme à l'intérieur de tous.
Quelles sont les races ou les peuples que votre personnage hais particulièrement ? Il n'y a qu'une race qu'elle n'apprécie pas particulièrement, et ce sont les goules. cela ne l'effraie pas mais il y a quelque chose en eux qui la rend mal à l'aise.
Où habite votre personnage ? Elle vit toujours à Falcon. | Hors RPG Comment t'appelles-tu ? Delphine Quel âge as-tu ? 23 ans Quelles sont tes passions ? Le dessin, grapher, la photographie, la lecture et écrire de petites histoires. Est-ce ton premier forum RPG ? Non. Comment as-tu connu le forum ? En vagabondant sur les top-sites Ton avis dessus Très beau, très intéressant. Il me plait vraiment alors j'ai hâte de commencer à jouer | |
|