Briséïce
De Nhiel
PersonnageNom : De Nhiel
Prénom : Briséïce
Surnom: /
Sexe : Féminin
Age : 19 ans
Ville de naissance : Près de Karathiel.
Plus d'informationsRace : Métamorphe (Panthère noire)
Peuple : Seda
Métier : Apprentie herboriste
Alignement : Axe du bien: Neutre
Axe de la loyauté: Loyale
Axe de la sagesse: Neutre
Axe de la pureté: Neutre
Classe sociale : Bourgeoise.
CapacitésSort : Murmure.
Un regard, la paralysie monte en vous, le monde tourne dans votre tête. Tout s'arrête. Je passe dans un murmure d'habits. Je suis, et vous n'êtes plus. (durée: 1 à 2 minutes, le charme coûte en énergie)
Arme(s) : Paire de dague (une dans la botte, une à la ceinture)
Une arbalète légère.
Animal domestiqueRace : A quoi bon? Je suis ma propre compagnie.
Rencontre : /
Description physiqueMon physique? Je ne suis pas menue, comme ces petites filles dans les tavernes, mais je n'ai pas une ossature trop forte non plus. Ma taille est marquée par un creux qui appelle les mains des hommes, mes seins sont deux petits clémentines fermes, et mes hanches avantageuses me rappellent qu'un jour je devrais donner naissance. Cela me grise rien que d'y penser, je risque de perdre ma silhouette longiligne. Je mesure 1m68 et mon poids s'aventure vers les 51 kg, si mes souvenirs sont bons. Mes cheveux sont ébènes, bouclés, et souvent non coiffés. Je les laisse me caresser le bas du dos, se nouer les uns les autres et s'arracher aux branches des arbustes. Mes yeux, eux, sont verts, pas un vert commun, grisâtre et sans charme, non, un vert de feuille au printemps qui éclate sous la rosée du matin. Un vert qui vous hypnotise pour ne plus vous faire partir. J'ai une bouche rieuse, toujours avec cette moue qui veut en dire plus que je ne le peux; la bienséance voyez-vous. On me dit mignonne, ou belle, tentatrice. Les Dieux me l'ont sûrement offerts pour mieux me protéger sous un faciès d'une innocente petite fille, ou alors pour mieux me faire violer sur les routes de campagne. Mon Maître adore m'y envoyer seule. Je le soupçonne d'espérer secrètement que je disparaisse mystérieusement.
Description mentaleMon caractère? Je dirais plutôt facile à vivre. Je ris beaucoup, et de tout. J'adore manger, je passe ma vie à me divertir pour que l'heure du repas arrive plus vite. Je suis franche, et très critique, mon Maître en devient, d'ailleurs, dingue. J'adore lui répondre par des petites piques pour le voir s'énerver. J'ai l'air très vive, masculine et barbare, pourtant ce n'est qu'un air que je me donne, la super Briséïce qui se met devant mon être intérieur. J'ai très vite appris que, pour ne pas se faire marcher dessus, il fallait marcher en premier. Je suis volontaire, un peu tête en l'air, farouche, susceptible, aguicheuse, joueuse, et surtout, surtout... j'ai l'art de foncer tête baissée pour me rendre compte juste après de l’Énorme bêtise que j'ai faite. Comme la fois, un peu après mes 16 ans, où un guerrier de passage plutôt charmant m'a proposé de le rejoindre sur sa couche, et j'ai accepté naïvement.
Je suis solitaire, et introvertie. Non que je n'aime pas la présence d'autrui, mais plutôt que j'ai besoin d'un temps de pause avec moi même. Je m'enfuis dans la forêt et là tout devient clair, limpide, calme. Je suis là où je dois être, je suis en communion avec le monde, avec l'énergie qui façonne la Terre. Je me sens libre.
HistoireJe suis née il y a 19 ans, dans le domaine de Père près de Karathiel. Je n'ai jamais manqué de rien, Père a fait fortune dans le commerce de rareté, importation et exportation entre les 4 Peuples. Les Nobles raffolent de sa boutique. Contrairement à moi; ostentatoire, inutile, inhumain. Non-naturel. La nature, la vie, les éléments qui s'infiltrent en vous. J'ai vite compris que ma place était à courir dehors, dans les champs, la forêt, plutôt qu'à suivre les cours avec mon précepteur. Père voulait me marier à un Noble, pour faire grandir le nom de la famille. Je l'ai vomi cette idée, par tous les pores de ma peau. J'ai aussi un grand frère, 4 ans plus âgé, qui va reprendre le flambeau de l'héritage familial; il sera le chef de famille. Ce grand dadais efféminé ? Chef? Laissez-moi rire, il court en voyant une mouche.
Moi aussi, je courais, mais dehors. Là où tout se passe. Les nuages défilaient et je jubilais. Mes petite boucles s'écrasaient contre l'herbe, et le rire de Mère volait avec le vent. Tels sont les souvenirs de mon enfance. Mère adorait me voir courir en petite boule de panthère noire. Elle fut la seule à accepter ma nature. Père prit à coeur de renier cette partie de moi, tout en me cherchant un futur dévoué mari. Ma beauté s'était déjà manifestée et voulait m'emprisonner dans une vie de femme au foyer, de machine à bébé.
Je m'enfuyais souvent dans la forêt, pour y vivre sous forme de panthère et me perdre dans l'instinct sauvage. Il m'arrivait de perdre le fil du temps et de rentrer le lendemain. L'accueil était agréable en pareil circonstance: Père criait, et Mère pleurait. Je compris le sentiment de honte, et essayait de me contrôler. Mais connaissez-vous l'appel de l'instinct naturel? Celui de vivre pour survivre? Je dois avouer qu'il me fait l'effet d'une drogue douce.
Mon adolescence fut turbulente, mes fuites furent plus nombreuses. Mon jeu préféré consistait à déjouer la surveillance de mon précepteur, et me faufiler en dehors de la maison pour me transformer en panthère puis courir avec Mahël, un garçon de mon âge qui travaillait à la taverne avec ses parents.
Je grandis, je devins femme. Les hommes se mirent à se retourner à mon passage. Jusqu'au fameux soir, où la fête battait son plein dans le village. Je me rendais à la taverne pour boire et parler à Mahël. Il y avait cet homme qui me regardait, non comme les autres avec un désir refoulé au fond des yeux. Cet homme m'acceptait, il m'appréciait, il me sentait. Mon instinct vibrait dans ma poitrine, il fallait que je m'empare de lui. Je pris une bière près de Mahël, qui s’inquiétait pour moi et de mon air bizarre, rêveur. Je lui souris, lui dis que tout allait bien, et emmena ma boisson près de l'homme qui me faisait chavirer. Pourquoi? Je n'y ai même pas réfléchi, je l'ai fait, j'ai agi. Nous parlâmes un moment, puis il m'emmena dans sa chambre. On va dire que niveau discrétion, on aurait pu faire mieux. Comment crier au monde entier: Briséïce n'est plus vierge! J'avais 16 ans, et j'ai passé une nuit inoubliable.
Dois-je vous rappeler que j'étais fiancée à un noble inconnu? Tout fut annulé, Père, furieux, m'emmena en ville, me trouva un Maître dans la discipline de l'herboristerie, et m'y abandonna. Je ne pus même pas dire adieu à ma mère. J'appris à reconnaître les plantes, leurs effets, à créer des potions. Bizarrement, le plus demandée lorsque je tenais le comptoir était un filtre d'amour, pour me demander la seconde d'après de boire un verre avec. Cela me fait toujours rire, rien que d'y penser. Ne me prenez pas pour une fille de légère vertu, je n'ai jamais plus touché au plaisir de la chair depuis ce fameux jour qui m'a délivré de mon destin funeste. Mon Maître ne m'apprit pas seulement à soigner, mais à empoisonner. Je n'aime pas cette méthode, elle est trop indirecte. Puis tuer? Ça me révulse rien que d'y penser. Maître Yvan m'obligea tout de même à manier une arme, pour la chasse, et la défense. Je pris un plaisir à utiliser l'arbalète légère. Elle allie maniabilité, puissance, et légèreté. Ce qui compense mon manque de force physique. Mon rôle d'apprentie, pour la première année, fut surtout des corvées de chasse: trouver la bonne plante, le bon champignon, le minéral, l'écorce. J'étais exaspérée, pourtant je préférais cette vie plutôt que celle de femme mariée. La vie m'était douce, cependant, il me manquait quelque chose. Au plus profond de moi, le dehors m'appelait. La ville, c'est bien beau, pour ceux qui aiment la sécurité.
Je me suis enfuie encore une fois, sur la route. Trois ans d'apprentissage, c'est bien assez à mon goût. Il y a un monde à voir, et mes yeux ont un besoin de beauté sauvage.
La position du personnage dans le contexteQue pensez vous de l’œuvre de la reine Adrietha ? Satisfaisante. C'est un sondage? Bon réellement, je pense que cette femme a eu la paire de couille de faire ce qu'elle a fait. Je la respecte pour ça, et je ferais mon possible pour aider à la retrouver.
Que pensez-vous de la politique de votre nation ? Sans avis. Je vous avoue que moi et la politique, on est un peu en guerre. Tiens, je suis en pleine politique avec moi même, non? Vu que je fais la guerre...
Quelles sont les races ou les peuples que votre personnage aime particulièrement ? Les goules. C'est vrai quoi, ils ont une gueule dégueulasse et ils ont encore le courage de vivre? Réellement, je les respecte pour ça. Perso, si on me défigure, j'arrache avec les dents la peau de l'infortuné qui a osé commettre ce crime.
Quelles sont les races ou les peuples que votre personnage hais particulièrement ? Les anges. Ils ont la particularité de m'irriter. Pensez-y, on dit qu'ils sont faits de purs lumières, que ce sont les plus belles créatures de l'univers. Alors expliquez-moi comment font-ils pour devenir déchu ces bandes de cons? Ils sont sensés ne pas ressentir le mal!
Où habite votre personnage ?Hors RPGComment t'appelles-tu ? MIAOU!
Quel age as-tu ? Miaou?
Quelles sont tes passions ?Miaou-miaou.
Est-ce ton premier forum RPG ? J'en faisais étant ado.
Comment as-tu connu le forum ? Par Pyrron Fireblood
Ton avis dessus ? Miaou.
Autre :Miaou!