Il était une fois une reine qui ne supportait pas qu’une autre prenne SA place…Que dire d’une femme à la vie centenaire et d’un père indécis qui finit par perdre la vie dans une folie qui n’était pas la sienne en fin de compte ?
Beaucoup de choses. Le roi Hurebard était un roi qui se voulait sauveur qui voulait aider son peuple, le faire simplement renaitre. Il renversa donc son prédécesseur.
C’est comme ça qu’Elia était devenue l’héritière d’un royaume. L’ainée d’une fratrie de trois enfants. Elle a un petit frère et une petite sœur.
Sa famille est une chose sacrée. Son petit frère et sa petite sœur sont tout pour elle. Peu de personnes les ont vus et seule, Elia connait leurs identités. Elle les surprotège, les enfermant dans un monde de luxe, cachant la dureté de la vie par des portes. Tout un étage du palais leur est consacré. Ainsi qu’un escalier qui descend vers une cours, et un jardin caché par des murs et une coupole de verre. Cinq personnes savent la vérité : deux domestiques, deux gardes et un maitre des armes pour leur entrainement. Si une de ces personnes trahit la reine, la torture leur sera prodiguée et l’exposition de leur cadavre en place publique, ainsi que toutes les personnes misent au courant par leur trahison.
Son enfance fut dictée dans l’optique d’être reine un jour. Elle voulait une certaine liberté dans tout cet apparat qu’on lui offrait. Une liberté qu’elle prenait quelquefois la nuit, en se baladant dans les terres sur un cheval noir. Un cheval noir qu’elle nomma Irinos. C’était son cheval, c’était sa liberté.
Le protocole, les lois, la diplomatie, l’art de la guerre, l’art du pouvoir, de la prudence, les règles de courtoisie, les bonnes manières… La bataille pour gouverner un jour fut rude pendant son enfance. Elle devait prouver qu’elle pouvait un jour remplacer son père et donner au peuple ce qu’il voulait, la prospérité, la sécurité. Cela l’oppressait. Elle avait du mal à le supporter. Pendant les grands changements poussaient par son père, elle se perdait dans les affres du palais pour aller voir les siens. Sa sœur et son frère, plus jeune d’elle de 5 ans et 10 ans. Elle aimait jouer avec eux pour se détendre.
Son souvenir préféré de cette époque dorée, comme elle aime la nommer. C’était un soir, sa mère dont elle avait hérité les traits brodait sur une chaise en osier. Son frère regardait le feu danser dans la cheminée, quant à sa sœur, elle mâchouillait un morceau de son doudou. Elia avançait dans cette salle remplit de chaleur et se posait au sol. Elle sortit de marionnette du sac qu’elle avait avec elle. Et commença à raconter une histoire.
C’était l’histoire d’un chevalier aux yeux de feu. Le soleil ne le brulait pas. Il voulait trouver l’eau apaisante. Elle mima l’histoire avec humour, son petit frère, et sa petite sœur en rirent. Ça lui faisait du bien à ce cœur qui souffrait du stress que sa jeunesse lui offrit. La joie sur le visage de sa famille était son réconfort.
Elle apprit à se battre, à user différentes armes. Elle devait savoir se battre, elle voulait savoir. Elle veut protéger les siens, son peuple. Elle le voulait ardemment.
A ses 49 ans, un drame se produit. Sa mère, cette femme qui lui inspirait la noblesse, la douceur avait disparu. Elle n’était plus qu’un souvenir, une odeur du passé, une larme du présent. Un fantôme qui s’échappe du palais et qui s’en va vers les cieux enflammés. Elle était morte, morte sans explication. Son cœur était de la cendre, ses yeux n’étaient plus. Elia ne sut que peu de détail de la mort de sa mère. Son père ne voulait pas qu’elle sache la vérité. Cette vérité qu’il la fit sombrer. Elia vit son père sombrer dans la tristesse, dans la haine, dans l’envie de faire payer cette mort…
A ses 50 ans, Elia monta sur le trône pousser par son père qui avait besoin de partir et de savoir pourquoi… Pourquoi sa femme lui avait été prise. Elle fut reine. Son destin était en marche. Un destin rude l’attendait, elle le sentait. Un pressentiment ?
Elle examina la situation du royaume et aussi ses liens avec les autres royaumes. Elle devait faire attention à ses choix. Elle veut protéger son peuple et elle le fera. Son peuple avant tout !
Un début de famine se fit ressentir. Elle ne voulait pas que cela s’aggrave. Elle décida donc de développer le marché de la pierre plutonique, sortant l’activité des volcans comme matériau de construction. C’est une pierre résistante. C’est une pierre rare, mais très convoitée par sa couleur. Une mine a été donc crée près du volcan. Elle voulait rehausser l’économie et aussi par ce biais, importé des dorées alimentaires pour faire des stocks de grain, en cas de famine.
Son règne fut long, avec le but de voir son peuple s’épanouir dans une conjoncture agréable. Il a y eu quelques mouvements de révolte vite étouffé. Des êtres préférant que son père revienne mais selon ses informations… Il serait près du volcan démoniaque. Cependant, elle ne sait pas ce qu’il y fait. Elle resta proche de sa sœur et de son frère. C’était finalement pour elle, sa seule famille. Elle ne comptait pas son père dans le lot.
Le temps avançait, les choses se ressemblaient. Il n’eut pas de guerre. Pourtant, elle se méfiait de ce qu’ils l’entouraient. Pouvait – elle savoir ce que cachait l’avenir ? Non aucunement.
Adreitha arriva un jour, pointant son envie d’une paix durable sous un même étendard. Son charisme et ses discours enflammés attisèrent l’envie d’une paix durable sous sa bannière. Cependant malgré tout cela, Elia fut mitigée sur cette idée d’une paix durable comme si… Quelque chose clochait dans tout cela. Et finalement, elle s’est dit « pourquoi pas. » Et quand elle a vu que le seigneur de l’eau et de la terre se mirent de son coté, Elia les suivit dans la paix durable. Voulant que tous les pays soient d’accord, elle provoqua Drew en le traitant de peureux, et il finit par accepter. De plus, elle l’a fait juste pour l’énerver. Ca l’amusait.
Alors que tout allait à nouveau changer, le passé a décidé de toquer à sa porte. Son père est revenu, et bien décidé à reprendre ce qu’il a donné à sa fille. Le trône. Cela l’attristait. Elle avait réussi à faire que son peuple, son royaume ait une économie stable. Elle avait peur qu’il détruise les efforts faits. Elle dut s’y faire et redevena une princesse. Elle profita pour passer du temps avec sa sœur et son frère. Elle passait beaucoup de temps. Elia n’a jamais compris pourquoi il était revenu sur sa décision, plus de cinquante ans après.
Cependant, elle ne peut rien faire contre ça. Elle resta près de lui quand même, une envie de voir ce que deviennait le pays. Seulement son père ne lui montrait pas tout. Elle usa de fourberie pour avoir ce qu’elle voulait, c’est-à-dire des renseignements sur les actions du roi.
Un jour, Adreitha a disparu. La reine d’une paix globale a disparu. On ne sait pas où elle est, si elle vit, ou si son cadavre repose dans un endroit secret. Elia n’aimait pas cela. Elle ne supportait pas. Elle avait l’impression que tout allait s’écrouler et que les risques de guerre pouvaient à tout moment se réveiller. Son peuple pourrait en pâtir, ainsi que son frère et sa sœur….
Voulant avoir des généraux fiables et prêts à tout pour le pays à ses côtés, elle décida que son frère et sa sœur apprennent les affres de la guerre, et cela dans le secret, car c’est à ce moment qu’elle décida de ne plus les laisser sortir. Ils devaient rester vivants. C’était indispensable pour elle. Et un soir, une nuit, elle retrouva son père et ses conseillers proches morts. MORTS ! Le deuil s’installa dans ce pays de braise et une folie naquit sur le trône, telle un poison ardent de destruction.
Elia se retrouva dans le feu d’une chute, qu’elle n’avait pas vu venir. Alors qu’elle aurait dû reprendre le trône, une femme se présenta à elle comme la régente ordonnait par le testament du roi… Elle était refusée à la cour. Cette femme aux cheveux d’un brun sale, aux regards fourbe, prit sa place. Une haine s’empara d’Elia. Une haine envers cette femme. Une femme qu’elle ne connaissait pas, qu’elle n’avait jamais vu, ni entendu parler. La nouvelle « reine », ce faible démon… Un hybride sans saveur jeta la reine dans la boue de la ville. Elle perdit tout. Elle perdit sa famille prise au piège dans ces murs.
Elle erra pendant des jours dans la capitale. Elle cherchait des moyens pour reprendre ce trône. Elle refréna son envie de tout brûler. C’est là qu’en marchant dans les rues sombres, dans cette pénombre glaciale, en voyant des pauvres gisaient sur le sol… Des corps pourrissaient sur les pavés, les exécutions étaient de plus en plus présentes, de plus en plus sanglantes, de plus en plus injustifiées… Voyant qu’aux fils des semaines, la pauvreté était plus grande, les massacres plus abritèrent, sans jugement, plus fréquent qu’à son règnes, elle prit la décision d’agir et cela au plus vite.
Sa rébellion allait commencer. La hache de la nuit marquerait le renouveau dans l’an 5. La saison Trëde avait commencé depuis peu. Elle eut une idée. Elle commença par laisser des affiches sur les murs de la ville avec des messages.
« Notre sol prend feu, il faut agir avant que le passé ne renaisse… » Singé Emeraude.
Elle se faisait passer pour une jeune femme, se nommant Emeraude. Elle était toujours cachée par une cape rouge pourpre. On ne devait pas savoir qui elle était. Ses affiches agaçaient le pouvoir en place, mais soulevaient une certaine indignation au sein du peuple. Une colère que la poudre de l'encre a semée. Le peuple réfléchissait, se posait des questions, s’interrogeait sur le pays et son avenir. Le pouvoir est à elle, et elle va lui arracher !
Et de ces affiches, des discours enflammés naquirent dans les pubs de la ville. Le soir, Elia sous l’apparence d’Emeraude cria sa vérité aux yeux des spectateurs. La foule grandissait aux fils des jours. Le peuple voulait savoir, comprendre ce feu brulant dans les rues de la vie. Elia voulait qu’une rebellion sous son commandement se réveille et prend d’assaut le palais, et que la tête de la régente tombe à ses pieds. Un espoir qu’elle fit vivre dans ses discours, dans son appel à la révolte.
Une certaine Emeraude courait la capitale et une fois à la campagne pour allier le plus de monde à sa cause. Elle réussira. Elia s’en ai fait la promesse. Cependant, la régente voulait étouffer cette colère qui grondait dans les rues et les avis de recherche se perdirent dans le pays. Celui qui ramènera la tête d’Emeraude, gagnera la fortune… Promesse en l’air ? Ou véritable rançon ?
Un soir après un discours enflammé par Emeraude, un homme suivit d’un autre s’approchèrent d’elle. Le premier se nomma « Sir Calion Bhaal » et l’autre « Athanor Fenris » Deux personnes bien différentes mais avec un but commun. Elia et eux discutèrent longuement. Ils voulaient tous les trois arrêter la régente. Cela lui plaisait. Malgré leur enthousiasme, leur réunion fut interrompue par la garde de la régente, qui entra, en tuant toutes les personnes qu’ils trouvaient sur leur chemin. Elle fuit en espérant que Sir Bhaal et Monsieur Athanor en sortiraient vivants. Elle se cacha quelques jours, pour être sûr, puis recommença ses discours. Elle devait convaincre le plus de monde possible. C’est là qu’elle les retrouva. Une collaboration se forma, et perdura. Une certaine amitié naquirent même entre eux. Au fils des rencontres, elle demanda à Sir Bhaal de trouver des guerriers à leur cause et à Monsieur Athanor, des informations sur la sécurité du palais. Et dès qu’elle était sur de leur fiabilité pour le bien de cette mission, elle se dévoila. Eux, seuls savaient qui était vraiment Emeraude. Un secret qu’ils gardèrent pour la sécurité du projet.
Elia princesse héritière avait déclaré la guerre à l’imposteur du royaume !!!
La fin de la saison de trëde arrivait. Bientôt le changement soufflera dans la capitale, dans le pays. Le peuple gronde, la foudre va frapper. L’assaut est prêt. La révolution allait exploser !!
Le plan était simple, entrer, tuer les conseillers affiliés à la régente, et tuer la régente elle-même. Reprendre le trône.
Les troupes étaient en place. Certaines des forces armées du royaume avaient suivis cette nouvelle bannière. Elle était contente et lança un dernier discours avant d’attaquer le palais.
« Je suis l’émeraude du cœur brulant de notre pays. J’ai perdu les murailles de mon avenir. Je viens les reprendre, reprendre ce qui m’est dû. Je viens réclamer le sang de mes ennemis pour le massacre de mon père, pour le massacre de mon peuple… Je suis Elia Lorim, fille ainée du roi Hurebard ! » Elle se dévoila, ouvrant ses yeux jaunes sur la foule, alors que ses cheveux longs et noirs comme la nuit voletaient dans le ciel, en ce début de soirée.
« Je vous demande de me suivre, de prendre ce qui a été volé et de restaurer ce qui a été détruit par la trahison. Nous sommes les Oshurys, nous sommes comme le feu, majestueux, fier, et unis ! Reprenons ce qui nous a été pris ! » Termina – t- elle en levant le bras qui tenait son épée, dans un mouvement fier. Un cri s’éleva, un cri de rage, et de passion. La foule était prête à la suivre… Prête à reprendre ce qui avait été détruit.
« Vive la reine Elia ! Vive la reine Elia ! Vive la reine Elia ! » Scandait la foule.
La marche prit son départ. Le ciel se perdait dans les larmes à venir. Les armes tremblaient d’envie de prendre le cœur des ennemis. Femmes et hommes s’avançaient criant leur rage, leur envie de meurtre. Elia était devant, suivis Sir Calion Bhaal. Athanor Fenris, surveillait les arrières. L’assaut commença. Bélier à la main, ils fracassèrent la première porte, tuant les hommes… Beaucoup tombèrent. Mais le courage ne se perdit pas. La souffrance envahissait le palais… Les cris soufflaient dans les couloirs. Elia frappait dans ces corps, qui étaient autre fois son armé. Traite à la couronne, ils devaient mourir.
Elle reçut quelques blessures mais rien qui ne l’inquiéta. Les conseillers qui l’avaient trahi, se faisaient décapités les uns après les autres par ses mains. Elle se dirigeait doucement vers la salle de trône. Elle était immense, majestueuse, avec des piliers aux gravures d’argent. Le sol était un damier blanc et noir, et au fond un trône de marbre avec des coussins en velours rouges s'élevait dans toute sa splendeur. Un tapis rouge y menait. Des gardes se plantèrent devant Elia, et quelques soldats à elle. Le combat fut rude, car ils avaient de la vivacité. Ils voulaient que la descendante directe du trône meurt sur ce damier qu’il l’a vu grandir.
La régente se leva sortant son épée. De la fumée sortait de ses narines. Ses cheveux étaient coiffés en arrière laissant ses cornes noires se lever vers le ciel. La couronne, sa couronne à Elia gisait sur son crâne…Entre les cornes de la traitresse. Elia voulait la tuer de ses propres mains, seule face à elle. Un combat des plus épiques se dansaient dans cette salle. Le bruit du métal des deux épées résonnaient dans la salle, comme une mélodie à chaque choc. Alors que les cris de souffrances des hommes qui tombaient au combat se firent entendre dans les couloirs. Elia ne perdit pas sa concentration, sa haine envers cet imposteur. Le sang perlait dans ce palais souillé par la vermine. Elle le sentait, elle le savait. Alors qu’un bruit sourd résonna dans le palais, une tête tomba au sol, roulant aux pieds d’une femme. Des doigts la prirent par les cheveux, alors qu’une couronne tombait au sol, dans un bruit de métal. Le sang coulait sur les dalles… Elia avait gagné. La bataille était finie. La révolution avait repris le pouvoir, pour un règne sous son nom!
Elia sortit de la salle du trône, en ne lâchant pas la tête de sa proie. Elle passa entre les soldats qu’ils la suivirent. Elle retrouva plus loin Sir Calion Bhaal. Eux tous, eux qui avaient œuvrés pour le renversement se joignirent dans la cour du palais. Et face au peuple, aux survivants, elle leva la tête, montrant les yeux révulsés à la foule.
« Nous avons réussi, nous avons détruit la gangrène de l’imposture. Je suis fière de vous, fière de votre combattivité, de votre courage ! Merci d’avoir été les mains salvatrices d’un pays tel que le nôtre !!! »
Des cris de liesses, de joies enivrèrent la ville. Ils crièrent
« vive la reine ! vive la reine ! ». C’est à ce moment-là, qu’Athanor Fenris arriva. Une beuverie s’en suivit partout pour fêter cela. Les morts furent brulés sur la grande place devant le palais. Le palais nettoyait, lavait de tout ce sang. Elle retrouva sa sœur et son frère qui avait été enfermé dans les cachots. Et quelques jours après cette bataille, il eut le sacrement.
Dans la cathédrale de Pyroung, une nuit, la lune pleine de lumière dansait dans les vitraux. La foule était grande. Les murs étaient noirs, aux rideaux de soie rouge… Le sol était un blanc nacré… Les bancs de bois étaient gravés du visage du Dieu Oshury. Un tapis de velours rouge tapissait le sol, jusqu’au escalier qui menait vers le grand prêtre. Derrière ce grand prêtre, il y avait une grande statue de marbre blanc du Dieu Oshury. Elia était vêtue d’une longue robe noire, avec des manches courtes soufflés. Sous la poitrine, elle avait un ruban rouge, tissait avec des fils d’or. Une traine blanche reliée sous la robe, ornée de petits étoiles ors suivait le chemin de cette princesse. Ses longs cheveux étaient remontés en deux tresses, entremêler d’un ruban blanc autour de sa tête, et une légère franche harmonisait son visage fin. Elle avança au son du violon et du piano qui l’enivrait de la mélodie de la victoire.
Ce moment, elle l’avait eu et elle le revivait. Cependant, cette fois - ci, elle en était fière, elle était méritante et personne n’allait revenir du passé pour lui reprendre la couronne. Sir Calion Bhaal et Athanor Fenris étaient présents au sacrement, aux premiers bancs. Elle voulait les remercier, c’est pour cela qu’elle les nomma à des postes importants de son royaume. On raconte aussi que sa sœur et son frère cachaient dans les murs de la cathédrale, virent leur sœur devenir ce qu’elle aurait toujours dû être, c’est à une reine. Cependant, ce n’est qu’une rumeur….
Elia posa un genou devant le prêtre et baissa la tête après le discours de celui – ci. Le prêtre orna la tête d’Elia de la couronne de son royaume, de son pays, et la déclara reine. Elle se leva, se retourna vers la foule avec le sceptre du feu en main, après qu'on lui a remis. La foule se leva. La foule montra sa joie, son bonheur, et s’inclina devant la REINE Elia.
Et La reine arriva sur son cheval noir, tenant dans sa main son épée. Elle pourfendit le monstre pour retrouver SON pouvoir… Et Elle vécut heureuse au milieu de ce peuple qu’elle a tant voulu protéger.FIN
Mais entre nous, tout vient à peine de commencer...